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Sombre Héros : parolier - interprète

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2 décembre 2010

35. Lumière (bloqué pour SH/MadGregor)

On t’aurait vu assis tout près des étoiles
Parfois pieds nus dans la poussière
Conter la vie à qui voulait s’faire la malle
Et tout de bulles hélicoptères

Qu’est-ce qui pourrait encore voler en éclats
Morceaux de rêves sous tes semelles
Et si cette nuit, on en mettait plein les voiles
Quitte à mourir faisons-nous la belle !

T’es plus tout seul à chavirer sous chandail
Regarde qui cogne dans la chaumière
C’est que tes yeux qui frôlent les mailles
De nos envies que prisonnières

Flottons ensemble sur nos pulsions animales
Pourquoi rider dans les barrières
Sur l’horizon, pour dévêtir en pagaille
Deux sorts qui ne s’étirent qu’en lumière !

© 2010 Sombre Héros

http://www.noomiz.com/sombreheros

Logo, illustrations et pseudonyme « Sombre Héros ».
Déposés auprès de CopyrightFrance.com (n° 28H8183).
Tous les textes sont déposés auprès de la S.A.B.A.M (Belgique).
© 2010 Tous droits réservés - Sombre Héros / Michel Lanckman

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2 décembre 2010

34. Je t'aime (libre d'interprète)

Allez viens…
Allez viens…

Laisse donc couler sur ta joue. Ce n’est pas un drame.
Y a mon épaule creusée pour retirer ton mal.
Viens donc p’tit loup et laisse soupirer ton cœur.
Y a des jours comme ça où c’est jamais trop l’heure.

Je t’aime…et je ne le dis qu’à toi.
Y a les étoiles qui sèment des petites fées d’autrefois.


T’as pas compris pourquoi ils n’ se souviennent pas
Qu’ t’as jamais eu envie d’être un peu ici et là.
Qu’la moitié d’un, c’est pas la demi du bonheur.
Et qu’ ça sent pas la vie, quand tout en toi te fait peur.

Le jardin fleuri est devenu macadam.
Et tes soleils sont en vie, mais ont perdu de leur flamme.
Tu voudrais crier qu’on peut aimer d’autres fleurs
Mais qu’tu peux pas grandir sans tes crayons de couleurs

Je t’aime…et je ne le dis qu’à toi.
Y a les étoiles qui sèment des petites fées d’autrefois.
Je t’aime…et je serai toujours là pour toi.
Que même la nuit…je veille et reste là.


Laisse donc couler sur ta joue. Ce n’est pas un drame.
Y a mon épaule creusée pour retirer ton mal.
Viens donc p’tit loup et laisse soupirer ton cœur.
Y a des jours comme ça où c’est jamais trop l’heure.

Je t’aime…et je ne le dis qu’à toi.
Y a les étoiles qui sèment des petites fées d’autrefois.
Je t’aime…et je serai toujours là pour toi.
Que même la nuit…ta peluche préférée, c'est moi !

© 2010 Sombre Héros

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2 décembre 2010

33. Derrière ce matin (hommage à Chantal Goya avec "Ce matin un lapin"

Jacko, il faut qu' ch' te dise.
Que ce n'est plus possible.
D'avoir dans les oreilles.
Dès c' putain de réveil.
Ce bout d'phrase d'la "Chantal".
Qui sort des amygdales.
Des gens d'la météo.
Ou d'ceux de nos journaux.

Car derrière ce matin.
Y a toujours un lapin.
Qui bute tous les chasseurs.
Parfois à toutes les heures.
Mais qu'est-ce que ça résonne.
Ces coups d'fusil qu'il donne.
Et puis, ça fait trop rire
Un fou lapin qui tire.


Jacko, il faut qu'tu piges.
Qu'on est que des sensibles.
Jusque dans les orteils.
Des fous rires qui s'éveillent.
C'est l' lapin d'la "Chantal".
Ce Droopy qui s'installe.
Partout entre les mots.
Sérieux, cons ou idiots.

Car derrière ce matin.
Y a toujours un lapin.
Qui bute tous les chasseurs.
Parfois à toutes les heures.
Mais qu'est-ce que ça résonne.
Ces coups d'fusil qu'il donne.
Et puis, ça fait trop rire
Un fou lapin qui tire.


Jacko, content qu'tu ries.
De toutes nos bêtises.
Tes jours s'ront moins pareils.
Maintenant qu' t'es en éveil.
Le bout d'phrase d'la "Chantal".
Viendra pas d'faire de mal.
Tu d'viendras juste dingo.
D'voir des lapins "marteaux".

Car, car, car derrière ce matin.
Y a toujours un lapin.
Qui bute tous les chasseurs.
Parfois à toutes les heures.
Mais qu'est-ce que ça résonne.
Ces coups d'fusil qu'il donne.
Et puis, ça fait trop rire
Un fou lapin qui tire.


© 2010 Sombre Héros

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2 décembre 2010

32. La danse des membres (libre d'interprète)

Frôler les lumières, flotter dans l’air
Corps trop proches, damner l’enfer
Pas l’univers, rien d’un désert
Courbes envolées au goût de chair
Éphémère, mais pour de vrai
C’est la danse des membres
Qui s’étendent et qui tremblent
Jusqu’à s’aimer


Coller au temps sonorisé
Ivres d’ivresse sensualité
Les yeux sourires tout parsemés
La voûte céleste au bord des pieds
Éphémère mais tant avouer
C’est la danse des membres
Qui s’étendent et qui tremblent
Jusqu’à s’aimer


Pas d’innocence au bout des transes
Vivre la musique, à perdre les sens
Ondes à voler le sel de chance
S’immisce enfin la décadence
Éphémère mais folle alliance
C’est la danse des membres
Qui s’étendent et qui tremblent
Jusqu’à s’aimer
C’est la danse des membres
Qui s’étendent et qui tremblent
Jusqu’à s’aimer

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1 décembre 2010

31. Sans cris, sans armes (en attente de compositeur)

Sans cris, sans armes
Il voudrait que s’arrête…
L’autre planète
De vices et de drames
Qui s’immisce trop souvent…
Dans les gazettes
Et pour faire ça
Il a cette plume qui lui manque…
Dans la tête
Pour dire tout bas
À coups d’encre
Tout ce qu’il estime…
Tu vois.


Il écrit chaque fois
Qu’une femme se rebelle
Pour qu’elle ait juste le droit
De se dévoiler belle…
Il décrit tout endroit
Ou personne ne se perd
Sauf l’amour bénévole
Du prochain prix Nobel…
Il ne nie pas la joie
Des orphelins blasés
Quand des bras de nulle part
En viennent à les aimer…

Sans cris, sans armes
Il voudrait que s’arrête…
L’autre planète
De vices et de drames
Qui s’immisce trop souvent…
Dans les gazettes
Et pour faire ça
Il a cette plume qui lui manque…
Dans la tête
Pour dire tout bas
À coups d’encre
Tout ce qu’il estime…
Tu vois.


Il écrit chaque fois
Que l’énergie se mêle
Dans les stades où les chants
N’ont pas de poings qui saignent…
Il décrit certains soirs
Où devant l’Eternel
Des corps dansent en vacances
Pour toucher l’étincelle…
Il se vide, sans pareil
Pour que ne puisse mourir
L’opinion prisonnière
Des cachots du délire…

Sans cris, sans armes
Il voudrait que s’arrête…
L’autre planète
De vices et de drames
Qui s’immisce trop souvent…
Dans les gazettes
Et pour faire ça
Il a cette plume qui lui manque…
Dans la tête
Pour dire tout bas
À coups d’encre
Tout ce qu’il estime…
Tu vois.

© 2010 Sombre Héros

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1 décembre 2010

30. Je sais... (libre d'interprète)

Au fond des yeux, je vois tes doutes
Quelque chose qui gronde, que tu redoutes
Je sais tes craintes, l’incertitude
Ces vagues qui mènent à l’inquiétude
C’est pour cela que je te dis…

Prends donc la clé de mon cœur
Et même les airs de mes ailleurs
Y a rien de faux dans c’que tu vois
Suis juste silence au fond de moi…


La vie bouscule nos bouts d’enfance
On s’blesse, on crie, on pleure, on danse
Je sais le temps qui nous rend fou
Les rêves qui s’cognent au fond de nous
C’est pour cela que je te dis…

Prends donc la clé de mon cœur
Et même les airs de mes ailleurs
Y a rien de faux dans c’que tu vois
Suis juste silence au fond d’la voix


L’amour ça se montre quoi qu’on en dise
Chacun son art et à sa guise
Du bout des doigts même quand t’es loin
Je te dessine sur mon chemin
C’est pour cela que je te dis…

Prends donc la clé de mon cœur
Et même les airs de mes ailleurs
Y a rien de faux dans c’que tu vois
Suis juste silence mais juste pour toi…

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1 décembre 2010

29. Que nous dit-elle ?

Que vois-je ainsi au bord des lèvres…
Un lâche don, puisqu’il est faible ???
Sont-ce les coulisses d’un autre « vous »
Prémices d’un goût qui ne s’avoue ?
 
Ça tache la vie entre les trêves
Ainsi se font les îles où saignent
Le temps, la vie aussi les rêves
Se tisse la nuit, sur bruit de peine.
 
T’aimerais trouver la marche arrière
Gommer le bleu qui n’est pas ciel
Mais celle, assise au fond de toi
Que nous dit-elle ? Que nous dit-elle ?

 
Où passent les jours qui font moins « belle » ?
Les mains tendues puis, qui se ferment
Ces routes qui glissent sur tes joues
L’amour toujours et qui rend fou !
 
Étais-tu l’ange, celui qui crève
À l’autre bout d’un monde, qui aime
J’attends, depuis, que tu rejoues
La fille d’avant, les tours de chaînes
 
J’aimerais trouver ta marche arrière
Gommer le bleu qui n’est pas ciel
Mais celle, assise au fond de toi
Que nous dit-elle ? Que nous dit-elle ?

 
Mais celle, assise au fond de toi
Que nous dit-elle ? Que nous dit-elle ?

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1 décembre 2010

29. Quand tu m'as dit (libre d'interprète)

Je n’ t’ai pas vue poser d’la peine
Quand tu m’as dit : « J’ voudrais qu’tu te noies…
Voici des larmes faites pour toi »
Était-ce bien elle et moi sur scène
Et au milieu, « Je te quitte » dans sa voix
Fallait-il que je reste là ?
 
Tout démonté, la peur bien là
Ca faisait tout creux comme j’te dis pas
Sous les pieds qui s’enfuit
Tout c’ qui supportait ma vie

T’es face à moi et j’peux sentir
Cette joie que t’as de me voir…souffrir
M’voir souffrir…

 
J’ai crié, plus d’ sons dans la voix.
Encaissé ses mots de combats
J’en crevais de bouger les bras.
Tout l’amour au bout des doigts.
J’ai humé, sans lui dire un mot.
Toutes mes armes cachées sous la peau.
L’éternel n’était plus très loin
Dans l’histoire d’ son lendemain.

 
J'ai senti qu'au bout d'une semaine.
Bien trop de gris, dansait autour de moi
Fallait bien que je la revoie
Frôler ses ailes plus s’dire qu’on s’aime
Changer de jeu, et emballer, tu vois.
Un passé qui n’est plus chez soi
 
Elle n’a rien dit, j’ai pris sur moi
D’un pas pressé sans trop le choix
Des p’tits bouts de ma vie, une histoire qui se finit
Tomber le masque pour mieux sentir.
Qu’à chaque pas, c’est elle que je délivre…je délivre…
 
J’ai jeté ton mal sur la voie.
Délesté tout ce qui faisait poids
Ça sentait léger sur ma croix
Mise à jour de c’qui était toi
J’ai jeté un œil dans le rétro.
Vu ta vie longer le caniveau
L’éternel pouvait bien prendre soin
De ta mémoire sans lendemain.

© 2010 Sombre Héros

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1 décembre 2010

28. La nuit s'annonce "Sex" (en attente de compositeur)

Et les corps se débattent
Dans cet air sonorisé
Seraient-ce des files d’automates
Sur des tempos clonés.
 
Toute coulée dans la ouate
Flashs de corps en approche et…
Sur ta bouche j’en prends acte
Que lumières censurées.
 
La décadence…s’immisce dans l’élixir.
Oserais-tu être insolente
A te coucher sous cire…
 
La nuit s’annonce « sex »
Du vinyl au latex
Délaisse le perplexe
L’envie que l’on ne vexe.
 
La nuit s’annonce « sex »
À courber sans complexes
Coït en ivresse…Oh…oh…ohoh…
 
Et frôlant à pas de chatte
C’est mon esprit tout parfumé
Quand c’est de braises que tu flattes
Fous centimètres carrés.
 
Et jouissent, 2 cœurs qui matent
Dans ces airs à tous péchés
Fais donc mouche pas dans la hâte
Laisse hier minuit passé
 
Les notes qui dansent…
Se mixent dans nos désirs.

Oserais-je nu dans ta demande
Que te laisser me vivre …
 
La nuit s’annonce « sex »
Du vinyl au latex
Délaisse le perplexe
L’envie que l’on ne vexe.
 
La nuit s’annonce « sex »
À courber sans complexes
Coït en ivresse…Oh…oh…ohoh
 
Les notes qui dansent…
Se mixent dans nos désirs.

Oserais-je nu dans ta demande
QUe te laisser me vivre …
 
La nuit s’annonce « sex »
Du vinyl au latex
Délaisse le perplexe
L’envie que l’on ne vexe.
 
La nuit s’annonce « sex »
A courber sans complexes
Coït en ivresse…Oh…oh…ohoh

 © 2010 Sombre Héros

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1 décembre 2010

27. Tu t'en vas (duo with Ka en devenir)

Ka : Ce soir, presque demain, aurais-je le temps ?
         Ca dort en moi, tu ne le vois pas…J’ai froid.
         Présages qui s’arment tout dans mon nu, pas sages
         Est-ce bien du noir juste là, qui broie…tu t’en vas...

S.H : Ce soir, je pose ma main dans l’air du temps
         Le cristal froid s’est emparé de moi…de moi.
         S’écrasent les larmes pas attendues, de mes nuages
         C’est que le noir doit faire le poids…tu t’en vas...

Refr : Ne reste-t-il que nous mentir…
          Ne voir pas vrai pour retenir…
          On sait très bien que c’est fini…
          Nos voix se lâchent…C’est ainsi…
          Nos voix se lâchent…C’est ainsi…

Ka :    Ca serre…mon cœur, tout en dedans
          Le voile pesant est devant moi…si las.
          Et que je sache, bien dans la vue, ça va
          Sauf ta main de sang qui attend…t’es plus là...

S.H :  J’espère, que le chagrin vivra longtemps
         Collés à moi, tes cheveux trop près…J’aime pas
         Et si ça fume dans la poussière de dérapage
         Ta brume n’est qu’accident, seule fois…t’es plus là...

Refr : Ne reste-t-il que nous mentir…
          Ne voir pas vrai pour retenir…
          On sait très bien que c’est fini…
          Nos voix se lâchent…C’est ainsi…

          Ne reste-t-il que nous mentir…
          Ne voir pas vrai pour retenir…
          On sait très bien que c’est fini…
          Nos voix se lâchent…C’est ainsi…
          Nos voix se lâchent…C’est ainsi…

© 2010 Sombre Héros

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Sombre Héros : parolier - interprète
  • Auteur-interprète belge, qui sculpte avec les mots, une lumière dans le noir. Découvrez mes univers qui ne demandent qu'à être partagés avec ceux d'autres artistes, compositeurs, chanteurs en recherche d'un parolier. Mon album est en cours de création.
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